Des femmes qui sont méprisables Sache, O Vizir (qu'Allah te pardonne), que la femme diffère dans ses dispositions naturelles: il y a des femmes qui sont dignes d'être appréciées, et il y a, d'autre part, des femmes qui ne méritent que le mépris. La femme qui mérite le mépris de l'homme est laide et bavarde; sa chevelure est épaisse, son front prohéminent, ses yeux sont petits et obscurs, son nez énorme, ses lèvres couleur du plomb, sa bouche est large, ses joues sont plissées et ses dents écartées; ses joues sont luisantes, et des poils percent sur son menton; sa tête repose sur un cou maigre, avec des tendons développés; ses épaules son contractées et son ventre étroit, avec des seins flasques qui pendent, et son ventre est comme une bouteille vide, avec le nombril prohéminent comme un tas de pierres; ses flancs sont moulés comme des arcades; le squelette de son épine dorsale peut être compté; il n'y a pas de chair sur sa croupe; sa vulve est large et froide. Finallement, une telle femme a des pieds et des genoux larges, de grandes mains et des jambes émaciées. Une femme avec de telles tares ne peut donner de plaisir à l'homme en général, et encore moins a son époux ou a celui qui recoit ses faveurs. Méprisable également est la femme qui rit constamment; parce que, comme dit le poète, "Si tu vois une femme qui rit toujours, éprise de jeux et de plaisanterie, qui se joue de ses voisins, qui se mêle de ce qui ne la regarde pas, tourmente son époux de plaintes constantes, se ligue avec d'autre femmes contre lui, qui joue à la grande dame, acceptant des cadeaux de quiconque, sache que cette femme est une grue honteuse." Un homme qui approche son membre en érection d'une telle femme le trouvera doux et relax, alors même qu'il ressemble au sac d'une bête. Que Dieu nous protège d'une telle femelle! Méprisable encore est la femme d'une sombre et menaçante nature, et une qui parle sans arrêt; la femme qui a la tête légère dans ses relations avec l'homme, querelleuse, ou éprise de tout et de rien et incapable de garder les secrets du mari, ou qui est malicieuse. La femme d'une nature malicieuse ne profère que mensonges; s'il elle fait une promesse c'est pour la briser, et si on se confie à elle, elle trahit; elle est débauchée, voleuse, gourmande, grossière et violente; elle ne peut donner de bons avis; elle s'occupe toujours des affaires des autres, de sorte qu'elle apporte le mal, et elle est toujours à l'affut de nouvelles frivoles; elle préfère le repos au travail, elle utilise des mots inconvenants pour s'adresser à un Musulman, même avec son époux; les invectives sont toujours au bout de sa langue; elle exhale une mauvaise odeur qui vous infecte, et se colle à vous même après vous avoir quitté. Méprisable encore plus elle est quand elle parle sans raison, hypocrite et n'agit pas; elle, qui, quand son époux lui demande d'accomplir l'acte conjugal, refuse d'agréer à sa demande; la femme qui n'aide pas son époux dans les affaires domestiques; et finalement, celle qui l'accable de plaintes et de pleurs incessants. Une femme de cette sorte, voyant son époux irrité ou troublé ne partage pas son affliction; au contraire, elle rit et plaisante encore plus, et n'essaie pas d'éloigner sa mauvaise humeur par des caresses. Elle est plus prodigue de sa personne avec les autres hommes qu'avec son époux; ce n'est pas pour lui qu'elle se maquille, et ce n'est pas pour lui plaire qu'elle cherche à être belle. Loin de là; avec lui elle est très négligée, et ne l'importe peu qu'il voie des choses et des vêtements de sa personne qui lui répugnent. Finalement, elle n'utilise jamais ni l'Atsmed ni le Souak. Le bonheur ne peut être espéré pour un homme avec une telle épouse. Qu'Allah nous éloigne d'une telle femelle!