La femme et le dragon. Le règne de la bête et les sept fléaux.
Apocalypse selon George W. Bush
Voici la révélation de Christ, que Dieu, par l'envoi de son ange,
a donnée à son prophète George W. Bush, pour montrer aux peuples de la terre
les choses qu'il a vu et qui doivent bientôt arriver, et qu'il leur
fera connaître par cette croissade. Heureux ceux qui entendront
ces paroles prophétiques, et qui croiront!
Car le temps est proche et que ceux qui ne sont pas avec Lui sont contre Lui.
Quand ils vinrent, ils avaient la Bible et nous avions la terre. Maintenant nous avons la Bible et ils ont notre terre.
Un grand signe parut dans le ciel:
une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds,
et une couronne de douze étoiles sur sa tête.
Elle était enceinte, et elle criait sous les douleurs de l'enfantement.
Un autre signe parut encore dans le ciel; c'était un grand dragon rouge,
il avait sept têtes et dix cornes et portait sept diadèmes sur la tête.
Sa queue entraînait sur terre, le tiers des étoiles du ciel.
Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter pour dévorer son enfant.
Elle enfanta un fils, qui devait faire paître les nations de la terre avec une arme de fer.
Son enfant fut enlevé vers Dieu et son trône.
Et la femme s'enfuit dans le désert, dans un lieu préparé par Dieu,
afin d'y être nourrie pendant mille deux cent soixante jours.
Et il y eut guerre dans le ciel, George et ses anges combattirent le dragon,
le serpent du nom de Sadam, et celui qui a séduit toute la terre
fut terrassé avec ses anges.
Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait:
"Maintenant le règne de Christ et l'autorité de Dieu-Président doit arriver;
car il a été détrôné, l'accusateur de nos frères, celui qui, jour et nuit,
les manaçait devant Dieu. Ils l'ont vaincu par le sang de l'agneau,
et ils n'ont plus aimé leur vie allant jusqu'à souhaiter la mort."
C'est pourquoi réjouissez-vous, ceux qui habitez près des cieux.
Malheur à la terre et à la mer! car le diable est animé d'une grande colère,
sachant qu'il lui reste peu de temps.
Il poursuivit la femme qui avait enfanté l'enfant mâle.
Mais la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche
et engloutit les flammes que le dragon avait lancé de sa bouche.
Le dragon, irrité contre la femme, s'en alla faire la guerre à ceux
qui gardent les commandements de Yahvé et qui ont le soutien du Dieu-Président.
Le règne de la Bête
Et il se tint sur le sable de la mer.
Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes,
et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème.
La bête que je vis était semblable à un léopard;
ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion.
Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité.
Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort; mais sa blessure mortelle fut guérie.
Et toute la terre était dans l'admiration derrière la bête.
Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête;
ils adorèrent la bête, en disant:
"Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle?"
Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes;
et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois.
Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre le Président,
pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans son temple.
Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints, et de les vaincre.
Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation.
Et tous les habitants de la terre l'adoreront,
ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde
dans le livre de vie de l'agneau qui a été immolé.
Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel,
pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu,
à toute langue, et à tout peuple.
Il disait d'une voix forte:
"Craignez mon Président, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue;
et adorez Celui qui possède le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux."
Et un autre, un second ange suivit, en disant:
"Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande,
qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité!"
Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte:
"Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main,
il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère,
et il sera tourmenté dans le feu et le soufre,
devant les saints anges et devant le vainqueur de l'agneau."
Les sept fléaux
Puis je vis dans le ciel un autre signe, grand et admirable: sept anges,
qui tenaient sept fléaux, les derniers, car par eux s'accomplit la colère du Président.
Et je vis comme un nuage, mêlé de feu, et ceux qui avaient vaincu la bête, et son image,
et le nombre de son nom, debout sur le nuage, portant les armes du Dieu-Président.
Et ils chantaient l'hymne International, celui du Président,
et le cantique funèbre de l'agneau, en disant:
"Tes oeuvres sont grandes et admirables, Seigneur Président Tout Puissant!
Tes voies sont justes et véritables, roi des nations!
Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton nom?
Car seul tu es sanctifié. Et toutes les nations viendront, et se prosterneront
devant toi, parce que tes jugements se sont manifestés."
Et ensembles, ils burent dans les coupes pleines de la colère du Président
qui vit aux siècles des siècles. Et le temple fut rempli de la gloire du Président
et de sa Puissance; et personne ne put entrer dans son temple,
jusqu'à ce que les sept fléaux des sept anges fussent accomplis.
Alors les sept anges déversèrent sur la terre, sur la mer, dans les fleuves,
sur le trône de la bête, sur le soleil, sur le grand fleuve Euphrate,
dans l'air, les coupes pleine de la colère du Président.
Et du temple, du trône, sortit une voix forte qui disait:
"C'en est fait!"
Et il y eut des éclairs, des voix, du tonnerre, et un grand tremblement de terre,
tel qu'il n'y en avait jamais eu depuis que l'homme était sur terre.
Et la grande ville fut conquise, et les nations tombèrent, et Dieu, se souvint
de Babylone la grande, pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère.
Et toutes les îles s'enfuirent, et les montagnes ne furent pas retrouvées.
Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent,
tomba du ciel sur les hommes; et les hommes blasphémèrent le Président,
à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était trop grand.